Etre ou ne pas être sur les réseaux sociaux, telle est la question…
Si c’est pour y partager des évènements culturels ou artistiques, je dis : Oui
Expositions, concerts, conférences, peu relayés par les médias classiques peuvent ainsi y être annoncés rapidement et facilement à toute une communauté d’ami-e-s.
Si c’est pour alerter, questionner sur des injustices notoires et pourtant tues, je réponds : Oui.
Je pense, par exemple, à la campagne menée pour la libération de Paul Watson l’an dernier.
MAIS…
Il y a des aspects moins positifs. Le temps que nous passons à guetter les « likes », à « balayer » le fil des actualités, prend au fil des jours une ampleur que nous avons du mal à maîtriser.
Soumis à des algorithmes qui nous échappent, nous risquons de ressembler à des marionnettes qui croient savoir danser alors que seule la main qui tire les ficelles leur permet de bouger…
Pourtant, même si nos publications n’ont pas la portée espérée, faut-il renoncer à se faire entendre ? Ne serait-ce pas une sorte de capitulation ?
Alors, être sur les réseaux sociaux, oui, mais modérément peut-être ? Et sans perdre de vue que pour être connecté au monde qui nous entoure, le mieux est encore d’y être présent, non pas virtuellement mais réellement.
Le soleil pointe son nez ce matin, malgré une météo plutôt grincheuse, c’est le moment de partir en balade… Qu’en dites-vous ?
Virginie Desplain 
Je suis tout à fait d’accord avec toi. Encore faut -il maîtriser ces réseaux sociaux. Pour ma part je préfère m’en abstenir plutôt que de devenir leur marionnette et je tiens à ma liberté. j’ai tellement mieux à faire, je serai plus pour la ballade même si le ciel est capricieux
Loïse
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Tu as raison. Balades et ballades sont nos chemins d’évasion et nous les apprécions… Merci Loïse !
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